Samedi 23 février
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17:38
C’était l’été 2008, j’avais pris quelques jours pour aller voir
des amis dans le Sud, près de Toulouse. Par soucis écologique et aussi parce que mon compte en banque ne me permettais pas de descendre en train, j’avais décidé de compter sur l’auto-stop. Après
un couple parisien bobo, un autre couple avec en option deux charmants bambins aux décibels épuisantes, et enfin un cadre commerciale bien content de
tromper son ennuie et d’avoir enfin quelqu’un à qui parler de sa vie … Je me suis donc retrouvé sur un bord de nationale, par une belle après-midi de Juillet, paumé en pleine campagne, et priant
que le prochain conducteur soit plus agréable . Une demi-heure après j’agitais toujours mon pouce, aux rares voitures qui passaient, dans l’indifférence générale. Encore une demi-heure et
j’allais fondre littéralement sous le soleil de plomb et au milieu de nulle part ! Et enfin j’entendis le son d’un camion qui freine, haa un routier !! Les routiers sont sympas, surtout
lorsqu’ils sont aussi mignons, me disais-je en approchant du camion, et de son chauffeur penché a sa fenêtre. On échange trois mots, et il me propose de me déposer à un 15 km de Toulouse sur une
aire d’autoroute, deux secondes plus tard je grimpe dans la cabine et balance mon sac à dos dans le fond du camion. Assis dans la cabine, et pendant qu’il redémarre, je le scrute
discrètement. Il doit avoir 42/43 ans, super bien
charpenté, le gros modèle, pas le fan de muscu un peu trop sec à mon gout.
De gros bras massif, avec un tatouage de tête de mort sur le bras droit. Une barbe grisonnante très sexy, un p’tit sourire charmant, et de beaux yeux souriant. Et un
magnifique torse bombé et velu, emprisonné dans un marcel blanc, une véritable invitation aux voyage.. On discute assez vite, une fois les banalités déballées, et sous ces aires bourrues, notre
chauffeur est en réalité un interlocuteur des plus agréables ! On fait connaissance, il me parle de sa vie, son travail, comme c’est difficile parfois, la solitude... Et tout en discutant je
remarque la décoration de la cabine. C’est un vieux modèle, pas de cabine pour dormir, mais juste un renfoncement derrière les sièges où j’ai posé mon sac. Et là fièrement trône d’un côté un
rugbyman au postérieur aguichant d’un calendrier bien connu, de l’autre un policier hyper membré
de Tom of Finland, et au centre un poster dédicacé d’un acteur porno. Sur le tableau de bord traine un guide gay, un paquet ce cigarillo et un
magazine gay porno. Je sens aussitôt mon sexe commencer à ce gonflé sous mon short. J’ai dû trop insister en regardant la déco, car il me fixe aussi… Un sourire ce dessine lentement et son regard
descend vers son jeans. Je remarque alors un début d’érection qui se fraye un chemin sur sa cuisse. La vache il a l’air monté comme un âne !
A partir de là plus besoin de mots, tout ce passe dans les regards.. Il me fait signe de prendre le magazine, je le feuillette, regardant uns à uns les corps dénudés dans toutes les
positions. Au moment où je veux lui dire que le beau brun poilu de la page 24 me plais beaucoup, je m’aperçois qu’il a baissé sa braguette et sortie son énorme sexe. Une belle queue épaisse avec
un gros gland bien turgescent … Elle devais être bien à l’étroit coincée dans ce jeans. Il me lance des petits regards en coins, mais continue de regarder la route, comme si de rien n’étais … Ça
te dérange pas ? me demande-t-il d’un air amusé. Je bafouille… T’en as déjà vue d’aussi grosse ? Rarement avouais-je. T’a envie de toucher ? Comme réponse, ma mains fonce
s’agripper au gourdin. Sa bite est épaisse, il bande dure, mais pas trop, ma mains s’agite, il mouille, j’en profite pour le lubrifier avec… Il gémit, se détend, glisse son bassin pour être plus à l’aise.
De sa grosse main il pousse ma tête vers sa bite. Je passe ma tête entre le volant et son ventre, et l’enfourne goulument. Son sexe prend toute ma bouche, je manque de m’étouffer avec ce gland
énorme au fond de ma gorge. C’est un bon petit ça !! lâche t‘il entre deux gémissements. Il donne le rythme, poussant sa mains contre ma tête,
il me pilonne la bouche, je sens son bassin accompagné les mouvements.. je lèche, aspire, titille avec plaisir, quel bonheur de sucer une queue pareille . Je sens le camion tourné sur la droite,
j’entends du gravier crissé, et finalement le camion s’arrête sous des arbres. Il repousse son siège et défait son jeans. Je tire un peu sur le jeans, et caresses ses couilles enfin libres. Il
change de mains, appuie sur ma tête avec la gauche tandis que la droite se glisse sous mon short explorant mes fesses. Ses gros doigts titille avec adresse, il glisse bien vite un doigts, le
retire , crache dessus et en remet deux …Il répond à mes gémissements en m’enfournant sa bitte bien profond et d’un : T’aime ça ma p’tite salope , hein! … Descend de la cabine
j’arrive.. Je m’exécute, il fait le tour du camion, tenant son jeans, il me plaque contre la roue, je vois tomber un emballage de préservatif entre mes jambes, avant de voir les siennes
s’approchées. Sa grosse mains se pose sur mon dos, pendant qu’il présente son gland... Il pousse...Il me pénètre... Doucement, il me laisse du temps pour m’habitué a son engin. Lentement il
s’enfonce... Et jusqu’à la garde... Il commence son va et vient … Je gémis … Il accélère... Le chemin étant fait il peut me percuter sans ménagements... Sa grosse queue me laboure, je gémis au
rythme de ces grands coups de reins. Je me sens m’écarté un peu plus à chaque fois que le gland fait l’aller-retour. Il me tord les bras dans le dos, et me baise de toutes ses forces … C’est bons
putain !! Hein !! Je te défonce bien là, hein ?! Je ne peux répondre que par des oui expulsés sous les coups. Je pause mes mains au sol, il me tient par les hanches, je vois son
pantalon baissé sur ces chaussures. Il me baise en levrette, me gratifie de ces jurons, et de son gros calibre... Personne sur ce coin de route pour nous voir... Presque dommage... le spectacle
doit valoir le coup d’œil...Ce gros chauffeur de camion enculant violement un voyageur au beau milieu de l’après-midi .. Il se retire enfin... Je tombe sur mes genoux, épuisé, le souffle
haletant, couvert de sueur… Il se plante devant moi, et se branle … Il me regarde avec un sourire, fait glisser ses deux mains sur sa bitte... et puis il se cambre, ferme les yeux, et éjacule
enfin … Le jet viens couler sur mon torse... et pendant qu’il gémit encore je jouis moi aussi …Il me déposera finalement sur l’aire d’autoroute comme promis , il me dit au revoir dans les
toilettes de la station-service après m’avoir une nouvelle fois fait gouter a son gros argument.
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